Approche du haïku de Jean Foucault
Esprit et forme du haïku
Il s’agit d’exprimer - en trois temps - le « où » le « quand » et le
mystère des choses.
Le deuxième vers est le plus long (7 syllabes dans
la tradition).
La « petite surprise » est dans le troisième (qui aide à saisir le sens de l’ensemble).Le haïku correspond à une sensation fugitive, à un moment donné, à une émotion, un émerveillement :
Oh une luciole
regarde
je crie, mais j’étais seul.
(Taïgi)
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