mardi 5 août 2014

Visions de l'haïku

Approche du haïku de Jean Foucault

Esprit et forme du haïku

Il s’agit d’exprimer - en trois temps - le « où » le « quand » et le mystère des choses. 
Le deuxième vers est le plus long (7 syllabes dans la tradition).
La « petite surprise » est dans le troisième (qui aide à saisir le sens de l’ensemble).
Le haïku correspond à une sensation fugitive, à un moment donné, à une émotion, un émerveillement : 

Oh une luciole
regarde
je crie, mais j’étais seul.

(Taïgi)

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